1. Les personnes très âgées qui ont perdus leur compagne/compagnon on tendance à se nourrir de plats cuisinés, souvent malsains (sel, gras) pour la santé physique. Le fait de manger seul n'arrange pas les choses pour la santé mentale. Les deux sont liés et deviennent un gros problème pour la société via les coûts de la santé et disponibilité de soignants.
2. Mettre en contact les ainés entre eux et avec d'autres générations de personnes disponibles (chômage de longue durée,...) pour se retrouver autour de la préparation et la consommation de repas sain. Partage des ressources, celles des veuves/veufs sont souvent supérieures à celles d'autres générations ou dans d'autres situations.
3. Personnes les plus âgées, familles monoparentales en tant que bénéficiaires, jeunes retraités, personnes au chômage de longue durée, toute personne ayant du temps à consacrer au bénéfice des tiers et d'eux-mêmes.
4. Partout en ville et dans le canton, au moyen d'une plateforme alimentée dans une première phase par les assistants sociaux et soins à domicile au courant des situations et pouvant en présenter les avantages chez les potentiels bénéficiaires.
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